Témoignage maman de jumeaux : grossesse gémellaire, accouchement et retour à la maison

L’essentiel à retenir sur la grossesse gémellaire

Dans ce podcast Enjoy Family, Léa, 29 ans, infirmière et maman de jumelles, raconte son expérience d’une grossesse gémellaire pleine d’émotions, de doutes et d’amour.

Elle partage l’annonce, le suivi médical renforcé, l’accouchement à 33 semaines, la réanimation néonatale, la vie à la maison et ses astuces malines !

Un témoignage sincère, inspirant et bienveillant pour toutes les futures mamans de jumeaux.

Les Clés pour réussir : entraide, repos, organisation

  • En France, 1,5 à 2 % des naissances sont des grossesses multiples (INSEE, 2024).
  • La HAS recommande un suivi renforcé pour toutes les grossesses gémellaires.
  • Près d’une grossesse sur deux se termine par une césarienne (53,9 % selon PMC, 2021 ; 54,5 % selon Réseau Périnat 92).
  • Le congé maternité pour jumeaux dure 12 semaines avant et 22 après la naissance (Service-public.fr).
  • L’entraide, le repos et l’organisation sont essentiels pour bien vivre cette aventure.

L’entraide, le repos et l’organisation sont essentiels pour bien vivre cette aventure.

Écoutez le témoignage complet de Léa dans le podcast “Parents : j’ai accouché de jumelles”

Un témoignage plein d’émotions et de bienveillance à écouter ci-dessous.
Quand la vie vous offre deux bébés d’un coup. Léa, 29 ans, infirmière, vit dans le Sud-Ouest…

Quand la vie vous offre deux bébés d’un coup

Femme enceinte tenant des clichés d’échographie montrant deux bébés, symbole de grossesse gémellaire.
Le moment où tout bascule : découvrir qu’on attend non pas un, mais deux bébés.

Léa, 29 ans, infirmière, vit dans le Sud-Ouest avec son mari David et leurs trois enfants : Julia, 4 ans, et les jumelles Eva et Léna, nées prématurément à 33 semaines.

Je crois que je n’ai jamais vraiment réalisé que j’attendais deux bébés… Je l’ai compris le jour de leur naissance.

Ce double bonheur s’accompagne de peurs, de fous rires, d’émotions et de fatigue. Une expérience bouleversante mais profondément humaine.

Chaque grossesse multiple commence par une surprise. Et souvent, elle se transforme en fierté.

Future maman découvrant à l’échographie qu’elle attend des jumeaux, exprimant surprise et émotion dans le cabinet médical.
L’annonce d’une grossesse gémellaire provoque toujours une grande émotion, entre joie et appréhension.

Comment savoir si on est enceinte de jumeaux ?

Avant même l’échographie, certaines futures femmes enceintes ressentent des indices qui peuvent faire penser à une grossesse gémellaire.

Une fatigue plus intense, des nausées matinales très marquées ou un ventre qui s’arrondit rapidement figurent parmi les signes souvent évoqués. Mais attention : ces sensations ne suffisent pas à confirmer une grossesse multiple.

Le seul moyen fiable de savoir si l’on attend des jumeaux reste l’échographie du premier trimestre. Elle permet de compter le nombre d’embryons et de déterminer le type de grossesse (bichoriale, monochoriale…).

Les tests sanguins peuvent parfois montrer un taux d’hormone hCG plus élevé, mais cela ne constitue pas une preuve à part entière.

Certaines croyances populaires persistent comme “avoir des jumeaux dans la famille”. Mais seul un examen médical permet de le confirmer avec certitude.

Image d’échographie montrant deux embryons dans l’utérus, représentant une grossesse gémellaire au premier trimestre.
L’échographie du premier trimestre permet de confirmer la présence de deux embryons et de préciser le type de grossesse.

Vrais jumeaux ou faux jumeaux : quelle différence ?

Dans le langage courant, on parle de “vrais jumeaux” et de “faux jumeaux”, mais les termes médicaux sont un peu différents.

  • Les vrais jumeaux, ou jumeaux monozygotes, proviennent d’un même ovule fécondé qui s’est divisé en deux embryons. Ils partagent donc le même patrimoine génétique et se ressemblent beaucoup.
  • Les faux jumeaux, ou jumeaux dizygotes, résultent de la fécondation de deux ovules distincts. Ils peuvent être du même sexe ou non et se ressemblent autant que des frères et sœurs classiques.

Le suivi médical varie selon le type de grossesse.

L’annonce d’une grossesse gémellaire : surprise et émotions

J’ai beaucoup pleuré quand on m’a annoncé que j’attendais des jumelles.

Pour Léa, comme pour beaucoup de futures mamans, l’annonce d’une grossesse multiple est un véritable choc émotionnel.

Le suivi d’une femme enceinte de jumeaux est particulier : plus de rendez-vous, plus d’échographies, plus d’attention.

Les sages-femmes libérales jouent un rôle précieux pour accompagner les émotions et rappeler que ce n’est pas une “grossesse compliquée”, mais simplement différente.

Ses mots m’ont permis de relativiser. Et surtout, de me dire que je n’étais pas seule.


Chaque future maman mérite de vivre ce moment avec douceur et soutien.

Femme enceinte tenant une paire de chaussons roses et bleus sur son ventre rond, symbolisant l’attente de jumeaux.
Entre excitation et appréhension, la grossesse gémellaire est une aventure unique pour les futurs parents.

Suivi médical renforcé : comprendre les étapes

Une grossesse gémellaire est souvent considérée comme une grossesse à risque, car elle nécessite un suivi médical régulier et attentif.

Je voyais mes filles presque chaque semaine à l’échographie.



Dans son cas, Léa a vécu une grossesse monochoriale biamniotique : un placenta commun, deux poches amniotiques. Dans certaines grossesses monochoriales comme la sienne, les médecins surveillent le risque rare de syndrome transfuseur-transfusé, où la circulation sanguine entre les deux bébés peut devenir déséquilibrée.

Selon la Haute Autorité de Santé (HAS), ce phénomène spécifique aux grossesses partageant un même placenta justifie un suivi échographique plus rapproché (Recommandations professionnelles, 2019). Heureusement, tout s’est bien passé pour les jumelles de Léa.

Sage-femme effectuant une échographie de grossesse gémellaire avec une future maman allongée et souriante.
Un suivi médical plus fréquent permet de veiller à la santé de la maman et de ses deux bébés.

Les points de vigilance essentiels

Pour aider les futures mamans à mieux comprendre le déroulement d’une grossesse gémellaire, les professionnels de santé surveillent plusieurs éléments clés. Ces points de vigilance permettent de prévenir d’éventuelles complications tout en garantissant le bon développement des bébés.

  • Syndrome transfuseur-transfusé (STT) : déséquilibre circulatoire entre les bébés partageant le même placenta.
  • Liquide amniotique : sa quantité est vérifiée à chaque échographie.
  • Hyperémèse gravidique : nausées matinales intenses, parfois avec vomissements sévères.
  • Perte des eaux prématurée (motif d’hospitalisation immédiate).
  • Accouchement prématuré : plus fréquent dans les grossesses multiples (Selon l’Inserm, environ six grossesses de jumeaux sur dix se terminent prématurément).

Les futures mamans peuvent être suivies à la fois à l’hôpital et par une sage-femme libérale, pour allier sécurité médicale et accompagnement humain.

Ces échanges permettent de mieux comprendre les enjeux tout en restant actrice de sa grossesse.

Et si l’information, loin d’angoisser, devenait un outil de confiance ?

Pendant la grossesse : les petits maux du quotidien

Les femmes enceintes de jumeaux décrivent souvent une fatigue plus marquée, un goût métallique dans la bouche, ou une sensation d’essoufflement précoce.

Je n’ai pas pris beaucoup de poids, mais j’étais vite fatiguée et j’avais souvent des reflux, confie Léa.

Conseils simples pour mieux vivre cette période

Heureusement, il existe de petits gestes simples qui permettent de mieux vivre cette période et de soulager les petits maux du quotidien.

  • Fractionner les repas pour limiter les nausées matinales.
  • Boire régulièrement et s’hydrater.
  • Dormir dès que le corps le réclame.
  • Privilégier les positions de détente et la respiration abdominale.
  • Pratiquer, si autorisé, une activité douce comme la marche ou la piscine.
  • Le suivi personnalisé par une sage-femme permet d’adapter chaque recommandation à la réalité de la maman.

Ces gestes simples aident à se sentir mieux au quotidien et à vivre plus sereinement sa grossesse.

Grossesse à risque : ce qu’il faut savoir

Une grossesse à risque n’est pas forcément une grossesse compliquée, mais elle requiert un accompagnement attentif.

Les hôpitaux de niveau 2 ou 3 disposent d’équipes spécialisées en accouchement prématuré et réanimation néonatale (Ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités).

Mon médecin m’a expliqué que je devais lever le pied dès le 6e mois.

Certaines femmes sont hospitalisées pour observation, d’autres bénéficient de visites à domicile d’une sage-femme libérale.

L’objectif reste le même : prolonger la grossesse au maximum pour favoriser la maturité des bébés. La clé réside dans l’équilibre : repos, écoute du corps et communication avec l’équipe médicale. Chaque semaine gagnée est une victoire partagée !

Accoucher de jumeaux : entre imprévus et encadrement médical

« On m’a programmé une césarienne : le travail par voie basse n’était pas possible. »
Hospitalisée quinze jours avant, Léa a accouché à 33 semaines d’aménorrhée.

Je n’ai pas eu de douleurs, mais j’ai regretté de ne pas avoir vu mes filles tout de suite.

Certaines maternités proposent des protocoles d’accouchement physiologique quand cela est possible. Dans tous les cas, la présence d’une équipe complète (obstétricien, sage-femme, anesthésiste, pédiatre) garantit un haut niveau de sécurité.

La naissance de jumeaux, c’est deux cris, deux émotions, un seul moment d’éternité.

Néonatologie : patience, confiance et premiers liens

Les jumelles pesaient moins de 2 kg. Eva a été ventilée à la naissance avant d’être transférée en réanimation néonatale.

Je les ai vues deux ou trois heures après. Elles étaient branchées de partout, mais si pleines de vie.

Le séjour en néonatologie est souvent long et éprouvant, mais les équipes hospitalières encouragent les parents à créer du lien : peau à peau, berceuses, paroles douces.

Chaque gramme gagné est une victoire, chaque sourire une lumière.
Dans ce monde feutré de machines et de veilleuses, la tendresse reste le meilleur des remèdes.

Retour à la maison : retrouver un nouveau rythme

Cinq jours après sa césarienne, Léa est rentrée à la maison, pendant que ses filles terminaient leur séjour en soins intensifs. « Je déposais mon aînée chez la nourrice, j’allais à l’hôpital, puis je rentrais pour la nuit. » Le retour à domicile est souvent la phase la plus exigeante : nuits hachées, logistique, fatigue.

Heureusement, le congé maternité prolongé pour jumeaux (34 semaines) permet une transition plus douce.

Les sages-femmes recommandent d’organiser les journées autour des besoins réels, sans chercher la perfection. Chaque jour est un apprentissage !

Jeune maman installant deux bébés jumeaux dans leur chambre à la maison, entourée de son conjoint, ambiance douce et familiale.
Le retour à la maison marque le début d’une nouvelle organisation familiale pleine de tendresse et d’adaptation.

Allaitement, biberons et émotions : trouver son équilibre

Léa a choisi de tirer son lait pour maintenir le lien avec ses filles hospitalisées : « J’étais épuisée, mais j’avais besoin de le faire. »

Allaitement exclusif, mixte ou au biberon : chaque parent choisit ce qui lui correspond.

La fatigue postnatale et le baby blues concernent environ 30 % des mamans (Santé publique France). Il est donc important d’en parler à une sage-femme libérale, à son médecin ou à la PMI. Prendre soin de soi n’est pas égoïste : c’est vital pour la famille entière.

Les astuces de Léa (et d’autres parents de jumeaux)

« Chaque dimanche, je prépare les affaires et les goûters de la semaine. » nous confie Léa.

Voici ses astuces et celles d’autres parents :

  • Préparer les repas en avance et congeler.
  • Grouper les changes et les siestes.
  • Ranger les vêtements en ensembles “jour”.
  • Créer un coin nuit et un coin change dans chaque pièce.
  • Investir dans du matériel double adapté.
  • Utiliser un carnet pour noter les biberons et tétées.
  • Rejoindre la Fédération Jumeaux et Plus pour des conseils mais aussi du soutien.

Accepter l’aide, c’est se donner le droit de souffler. Et de savourer un peu plus chaque instant.

Bien s’équiper pour accueillir des jumeaux

L’arrivée de bébés jumeaux demande un peu d’organisation, mais il n’est pas nécessaire de tout acheter en double exemplaire. L’essentiel est de miser sur des équipements pratiques, sécurisés et évolutifs. Deux lits à barreaux, une poussette double, un seul plan à langer bien aménagé et une baignoire simple suffisent souvent pour bien démarrer.

Le plus important reste de préparer un espace de vie adapté à votre rythme et à celui de vos enfants, en privilégiant la simplicité et la sécurité.

Pour aller plus loin et découvrir les conseils d’une infirmière puéricultrice spécialisée, consultez notre article complet : Comment accueillir des bébés jumeaux en toute sérénité ?. Vous y trouverez des recommandations détaillées sur l’aménagement de la chambre, le choix du matériel et les bonnes pratiques pour accueillir vos jumeaux en toute confiance.

Soutien et associations : ne pas rester seuls

Devenir parents de jumeaux, c’est unique… et parfois épuisant. Heureusement, il existe des réseaux dédiés comme la Fédération Jumeaux et Plus, qui accompagne les familles : conseils pratiques, prêts de matériel, groupes de parole.

Les équipes de maternité, les PMI et les sages-femmes libérales peuvent également orienter vers des dispositifs d’aide locaux.

Se sentir entouré change tout. Parce qu’élever des jumeaux, c’est un défi que personne ne devrait affronter seul.

Grossesse gémellaire : ce qu’il faut retenir

La grossesse gémellaire est exigeante mais profondément enrichissante.

Grâce à un suivi attentif, une bonne communication avec les professionnels et un entourage présent, chaque parent trouve son rythme.

Avoir des jumeaux, c’est beaucoup de travail, beaucoup de fatigue… mais surtout beaucoup d’amour.

Vivre la grossesse gémellaire sereinement : préparation, émotions et équilibre

La grossesse gémellaire ne se résume pas à une addition de rendez-vous médicaux. C’est une période de transformations profondes, physiques et émotionnelles. Chaque future femme enceinte porte en elle deux vies, mais aussi deux fois plus d’attentes, de questionnements et de moments suspendus.

J’avais parfois peur, mais chaque battement de cœur me rappelait pourquoi je faisais tout ça », nous raconte Léa.

Trouver son équilibre entre repos et mouvement

Le corps sollicité a besoin de répit, mais il reste important de conserver une mobilité douce. De nombreuses sages-femmes libérales proposent des séances de relaxation prénatale, de respiration ou de yoga adapté aux grossesses multiples. Ces moments aident à soulager les tensions du dos et à apaiser le mental avant l’accouchement prématuré souvent redouté.

Certaines maternités de niveau 3, spécialisées dans le suivi des grossesses à risque. Elles disposent même de programmes de préparation personnalisés : ateliers sommeil, gestion de la fatigue, allaitement de jumeaux ou soins du post-partum. Ces espaces d’écoute permettent aussi d’aborder les aspects pratiques : comment gérer deux bébés la nuit, comment organiser l’espace à la maison ou comment se relayer avec le co-parent.

Anticiper pour mieux vivre l’après

Préparer l’arrivée de deux bébés, c’est aussi penser au quotidien. Aménager un espace de change central, prévoir un stock de couches et de biberons, répartir les rôles avec le conjoint : tout cela aide à éviter la charge mentale.

On a fait une liste pour tout ce qui concernait la maison. Ce n’était pas parfait, mais ça m’a beaucoup rassurée , explique Léa.

Les sages-femmes insistent souvent sur un point : anticiper ne veut pas dire tout contrôler. Il faut aussi laisser place à la spontanéité, car chaque bébé aura son propre rythme. L’important est de garder confiance, même quand la fatigue ou le doute s’invitent.

Les associations, un vrai soutien moral

Les parents de jumeaux peuvent parfois se sentir isolés ou incompris. Rejoindre une structure comme l’Association Jumeaux et Plus permet d’échanger avec d’autres familles, d’obtenir des conseils pratiques et de participer à des rencontres locales.

Ces moments de partage redonnent du souffle et rappellent qu’il n’y a pas qu’une seule “bonne façon” d’être parent.

Certaines familles témoignent aussi du soutien essentiel de leur entourage : une grand-mère qui vient une après-midi par semaine, des amis qui apportent un repas, ou une voisine qui aide pour les trajets d’école. Ces élans de solidarité, même ponctuels, changent tout.

FAQ : questions fréquentes quand on a des jumeaux

Une grossesse gémellaire est-elle forcément à risque ?

Oui, mais “à risque” ne veut pas dire “dangereuse”. Cela implique simplement un suivi plus attentif.

Les accouchements de jumeaux sont-ils toujours des césariennes ?

Non, mais environ 50 à 55 % le sont selon la HAS et l’Inserm.

Peut-on allaiter deux bébés ?

Oui, avec un accompagnement adapté et des positions confortables.

Comment différencier les vrais jumeaux ?

Au début, ce n’est pas toujours simple ! Les vrais jumeaux (monozygotes) se ressemblent énormément, surtout les premiers mois. Mais avec un peu de temps, les parents développent un œil redoutable.

Les différences se remarquent souvent dans les petits détails du visage (forme du nez, grain de beauté, expression des yeux) ou dans le caractère : l’un sourit plus souvent, l’autre est plus calme ou curieux.

Pour éviter les confusions au quotidien, de nombreux parents partagent quelques astuces :

  • choisir des couleurs de vêtements distinctes les premières semaines ;
  • noter une marque légère au feutre ou au vernis sur un ongle (effaçable et sans danger) ;
  • ranger leurs affaires dans des paniers séparés avec leur prénom ;
  • prendre beaucoup de photos individuelles pour apprendre à mieux observer leurs différences.

Et puis, au fil des mois, tout devient instinctif : les parents savent instantanément qui est qui, rien qu’à la façon de pleurer, de regarder ou de bouger.

Faut-il habiller les jumeaux de la même manière ?

Il n’existe pas de règle absolue, mais la plupart des spécialistes de la gémellité s’accordent à dire qu’il est préférable d’éviter les tenues strictement identiques. Selon l’association Jumeaux et Plus et la psychologue Élisabeth Darchis, distinguer les vêtements permet d’aider chaque enfant à développer sa propre identité dès le plus jeune âge.

Certains parents choisissent de coordonner les tenues (même style, couleurs différentes) pour marquer leur lien sans les confondre. D’autres préfèrent les différencier complètement.

L’essentiel, selon Catherine Dolto, est que chaque bébé se sente reconnu comme une personne unique, même s’il partage la même date de naissance et une grande complicité.

Où trouver de l’aide quand on attend des jumeaux ?

La Fédération Jumeaux et Plus et les sages-femmes libérales accompagnent les parents tout au long de cette aventure.

A lire aussi sur les jumeaux :

A écouter aussi :

Retrouvez le podcast complet sur le témoignage de cette maman de jumelles dans notre série Parents, ils témoignent, et d’autres épisodes sur la maternité, la naissance et le post-partum sur Spotify.
Retrouvez l’ensemble des autres épisodes de podcasts experts et parents d’Enjoy Family !

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